Bésixzerosept

Quelle que soit l’élégance qui nous encercle.
La quiétude, la douceur du lieu nous prenant.
Sans arriver à lever le couvercle.
Reste de la place pour le piétinement.

Difficile de savoir où on peut aller.
Quand on ne discerne pas le point de départ.
Gauche, droite, haut, bas, sans cesse trimballé.
Mais sans guide contrairement au tortillard.

Arbre tordu dans une forêt rectiligne.
Quête de clairière, un peu de lumière.
Mais quelle direction prendre sans aucun signe.
Si ce n’est suivre un banc de cubozoaires.

Si point de chemin n’existe encore.
Pas d’autre choix que celui de le dessiner.
En se repérant au parfum du pétrichor.
Espérant un jour trouver des bras pour nous choyer.

Category: my worldS

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